Dilwale Dulhania Le Jayenge, c’est du 100% pur sucre allégé avec des énormes morceaux de clichés dedans. Mention spéciale à l’épisode suisse, ses montagnes enneigées, son chapeau à plumes et son énorme cloche de vache offerte à la damoiselle convoitée en guise de cadeau romantique. A voir de préférence arrosé-frappé (avec option goinfrage de gâteau au chocolat) pour apprécier pleinement les gros yeux spectaculaires du vilain père de famille, la coupe de cheveux ringarde façon “playmobil” de Shahrukh Khan, et la beauté pétillante de Kajol.
Un de mes moments préférés de ce film est définitivement cette jolie scène de bourritude sur fond de Gornergratt * où la belle est carrément pompette et se sent d’humeur un peu chaudasse. L’homme, qui a passé toute la première demi-heure à frimer et à jouer les playboys de service, lui, a soudain froid au pieds (un peu moins à 3′09 lors du délacement miracle de ses grolles avant chute dans piscine de pauvres)
Et puisque l’humeur du jour est sotte, j’en profite pour souhaiter une bonne fête à tous les Materne, Ermemburge, et Odilard, ce qui me donne l’impression de rédiger un message pour Radio Londres.
( * Là, il y a incertitude. Le premier qui localise l’arrière plan avec précision gagne son poids en saucisse de Toulouse)
No comments:
Post a Comment